Études bibliques

Un programme d'étude de la Bible entière en cinq ans

Mai 2024
L
M
X
J
V
S
D
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31

03/05/2024

Luc - 22:49-23:13

Chapitre 22

Versets 49-51

Je suis dans le chapitre 22 de Luc, un passage à forte teneur émotionnelle. Profitant qu'il était dans le jardin des Oliviers, seul avec ses disciples et à l'écart des foules, Jésus vient d'être arrêté par un contingent de soldats et de religieux conduits par Judas. Je pense que beaucoup d'entre nous ont dû subir, à un moment ou un autre de notre vie, la trahison de quelqu'un que nous pensions de confiance. C'est une terrible épreuve et certains n'ayant pas appris à pardonner à leurs ennemis ne s'en remettent pour ainsi dire jamais. Jésus alors qu'il est pendu sur la croix aura la miséricorde de pardonner à ceux qui l'ont condamné. Il demeure aujourd'hui encore l'exemple parfait et celui qui a la solution des problèmes de la vie. Luc mentionne trois éléments relatifs à la trahison et à l'arrestation de Jésus.

  • Premièrement, il savait que Judas allait le livrer. Lorsque le traître s'approcha, le Seigneur lui dit: Judas, c'est par un baiser que tu trahis le Fils de l'homme ! Par ses paroles, Jésus montrait qu'il connaissait la façon dont il allait être livré, jusqu'au signe secret du baiser.
  • Deuxièmement, Jésus eut de la compassion pour les gens, même lors de son arrestation. Après que Pierre eut tranché l'oreille du serviteur du grand-prêtre, Jésus le guérit, ce qui est extraordinaire. On est habitué aux miracles du Christ, mais que cette foule en assistant à ce prodige ne soit pas tombée sur sa face comme une masse me sidère. Ils ont fait comme s'ils n'avaient rien vu, comme si rien ne s'était passé, ou comme si Jésus avait ramassé un stylo qui serait tombé de la pochette de ce serviteur et le lui aurait tout simplement rendu, un acte de politesse entre personnes de bonnes manières en somme. Je suis ébahi par l'indifférence, l'incrédulité et la haine de cette troupe de sanguinaires.
  • En troisième lieu, Jésus va mettre son doigt sur l'hypocrisie criante des teignes religieuses.

Versets 52-53

Je continue le récit.

Il se tourna ensuite vers les chefs des prêtres, les chefs des gardes du Temple et les responsables du peuple, qui avaient accompagné cette troupe pour le prendre.? Me prenez-vous pour un bandit pour que vous soyez venus avec épées et gourdins? J'étais chaque jour avec vous dans la cour du Temple, et personne n'a mis la main sur moi; mais maintenant c'est votre heure et les ténèbres vont exercer leur pouvoir (Luc 22.52-53).

Jésus fait remarquer l'esprit retors et machiavélique des chefs religieux en leur demandant pourquoi ils ne l'avaient pas arrêté au temple, puisqu'il y enseignait tous les jours. Il n'était pourtant pas difficile à trouver. La raison est évidente: ils craignaient une partie du peuple qui aurait pu faire un foin du tonnerre et provoquer une intervention armée des Romains; et ça, ce n'est pas bon pour la réputation et le statut social et politique des religieux véreux ni pour le commerce lucratif qui se déroulait au Temple à l'occasion de la célébration de la Pâque. Non seulement ces teignes venaient sous le couvert de la nuit pour l'arrêter, mais Jésus leur dit aussi que leurs agissements relevaient des ténèbres, celles qui dépendent du pouvoir de Satan. Jésus affirme sa présence active dans cette heure d'épreuve, et lui associe toutes ces autorités religieuses qui se comportent comme ses agents.

Ce qui s'était passé dans le jardin a dû prendre fin vers les 2 h 30 de la nuit de jeudi à vendredi, car dès le jour, les 6 procès de Jésus étaient terminés et à 9 h il se trouvait sur la croix. L'arrestation était tout ce qu'il y avait de plus illégal, car elle eut lieu au cours de la nuit et fut accomplie grâce à un accusateur dont les services avaient été loués.

Verset 54

Je continue.

Alors ils se saisirent de lui et le conduisirent dans le palais du grand-prêtre. Pierre suivait à distance (Luc 22.54).

Jésus comparut 3 fois devant les chefs romains et 3 fois devant les tribunaux juifs. Luc, toutefois, ne rapporte que deux des trois comparutions juives. D'après l'Évangile de Jean, Jésus fut d'abord conduit devant Anne le grand-prêtre selon la loi et ensuite devant Caïphe, le gendre du premier, mais installé par le gouverneur Pilate. Ici, il est devant Caïphe. Jusque-là, Pierre est fidèle à sa parole et suit Jésus.

Versets 55-60

Je continue.

Au milieu de la cour, on avait allumé un feu et les gens étaient assis autour. Pierre s'assit au milieu du groupe. Une servante, en le voyant là près du feu, l'observa à la clarté de la flamme et dit:? En voilà un qui était aussi avec lui. Mais Pierre le nia en disant:? Mais non, je ne connais pas cet homme. Peu après, quelqu'un d'autre, en apercevant Pierre, l'interpella:? Toi aussi, tu fais partie de ces gens !? Mais non, déclara Pierre, je n'en suis pas ! Environ une heure plus tard, un autre encore soutint avec insistance:? C'est sûr, cet homme-là était aussi avec lui; d'ailleurs c'est un Galiléen.? Mais non, je ne sais pas ce que tu veux dire, s'écria Pierre. Au même instant, alors qu'il était encore en train de parler, le coq se mit à chanter (Luc 22.55-60).

En moins de quelques heures, Pierre renia Jésus trois fois, comme celui-ci l'avait prédit. À chaque reprise, il niait avec plus de véhémence.

Versets 61-62

Je continue.

Le Seigneur se retourna et posa son regard sur Pierre. Alors Pierre se souvint de ce que le Seigneur lui avait dit: «Avant que le coq ne chante aujourd'hui, tu m'auras renié trois fois !» Il se glissa dehors et se mit à pleurer amèrement (Luc 22.61-62).

La répétition du mot «Seigneur» est là pour marquer l'autorité de sa parole, confirmée par l'accomplissement exact de sa prophétie. La combinaison des événements ainsi que le regard de Jésus, perçant tel un glaive, rappela à Pierre la prédiction que le Seigneur avait prononcée plus tôt dans la soirée. Il prit alors conscience de ce qu'il venait de faire. Quelle dure leçon ! L'amertume dans l'âme, il avait maintenant le coeur brisé d'avoir renié son Maître.

Versets 63-65

Je continue.

Les hommes qui gardaient Jésus se moquaient de lui et le frappaient. Ils lui couvraient le visage et criaient:? Hé ! Fais le prophète ! Dis-nous qui te frappe ! Et ils l'accablaient d'injures (Luc 22.63-65).

On se moque de lui parce qu'il se prétend prophète, alors qu'il vient de montrer une nouvelle fois qu'il en est un vrai. Le reniement de Pierre fut l'accomplissement précis des paroles du Seigneur. Jésus fut arrêté sans motif d'accusation, jugé pendant la nuit, reçut un verdict le même jour que celui du jugement; et plus tard, le grand-prêtre déchirera son vêtement en signe de consternation.

Tous ces comportements violents et expéditifs étaient de graves entorses à la loi de Moïse qui fut constamment violée par les religieux. Maintenant, va commencer la lente agonie du Fils de Dieu. Il va d'abord être maltraité et défiguré par les coups, ce qui avait été prophétisé 13 siècles plus tôt. Je cite le passage:

Beaucoup ont été horrifiés tellement son visage était défiguré et tant son apparence n'avait plus rien d'humain (Ésaïe 52.14)

Versets 66-68

Je continue le texte.

Dès le point du jour, les responsables du peuple, les chefs des prêtres et les spécialistes de la Loi se réunirent et firent amener Jésus devant leur Grand-Conseil. L'interrogatoire commença:? Si tu es le Messie, déclare-le nous. Jésus leur dit:? Si je vous réponds, vous ne croirez pas, et si je vous pose des questions, vous ne me répondrez pas (Luc 22.66-68).

Le Grand Conseil était le corps législatif officiel d'Israël. Ce collège des responsables du peuple constituait la cour d'appel suprême. Si ces religieux déclaraient Jésus coupable, il n'y aurait aucun recours possible; la nation le considérerait comme tel. Les chefs de la nation juive voulaient savoir si Jésus confirmerait devant eux qu'il était le Messie. Ils lui donnaient l'occasion de se rétracter voulant ainsi l'humilier devant ses disciples. D'après un autre Évangile, il vint alors un défilé de faux témoins qui plaidèrent contre Jésus. Deux d'entre eux, méprenant ses paroles, affirmèrent qu'il avait dit:

Je peux démolir le Temple de Dieu et le rebâtir en trois jours (Matthieu 26.61).

Mais Jésus n'essaya pas de se défendre et garda le silence jusqu'à ce que le grand-prêtre lui demande solennellement: Je t'adjure, par le Dieu vivant, de nous déclarer si tu es le Messie, le Fils de Dieu.

Verset 69

Alors, Jésus répondit, et je continue le texte de Luc:

Mais à partir de maintenant, le Fils de l'homme siégera à la droite du Dieu tout-puissant (Luc 22.69).

Sans équivoque possible, Jésus confirma son autorité en tant que Messie, celui qui après sa mort, sa résurrection et son ascension, serait assis à la place d'honneur dans le royaume des cieux. En fait, il citait en partie une prophétie qui dans sa totalité inclut sa victoire complète sur ses ennemis lors de son retour en gloire. Je la lis:

L'Éternel dit à mon Seigneur: Viens siéger à ma droite jusqu'à ce que j'aie mis tes ennemis comme un escabeau sous tes pieds (Psaumes 110.1).

Verset 70

Je continue.

Alors ils se mirent à crier tous ensemble:? Tu es donc le Fils de Dieu !? Vous dites vous-mêmes que je le suis, répondit Jésus (Luc 22.70).

Jésus affirma sans ambages qu'il était le Fils de Dieu, et il clouait en même temps ses accusateurs au mur. En effet, d'une part et sans le savoir, ils confirment la véritable identité de Jésus. D'autre part, il se trouvait là parce que la plupart des membres du conseil suprême se doutaient sans vouloir l'admettre qu'il était le Messie. Mais la haine au ventre, ils avaient décidé de se débarrasser de lui de toute façon, ce que Jésus avait prophétisé auparavant à l'aide de la parabole du vigneron qui planta une vigne.

Verset 71

Je finis le chapitre.

Là-dessus ils s'écrièrent:? Qu'avons-nous encore besoin de témoignages? Nous venons de l'entendre nous-mêmes de sa bouche (Luc 22.71).

Là-dessus, les chefs religieux voient rouge. Ils ont les yeux qui sortent des trous. Ils décident d'accuser Jésus de blasphème afin de pouvoir le mettre à mort. Mais le conseil juif n'avait pas l'autorité d'imposer la peine capitale. Il leur fallait donc mêler Pilate à leur sinistre projet. C'est le sujet du chapitre suivant.

Jusqu'à présent, les événements se sont enchaînés rapidement: d'abord, la trahison de Judas, puis le dernier repas de Jésus avec ses disciples qui prit une importance toute particulière soulignée par la chronologie précise avec les phrases suivantes:

  • On était à quelques jours de la Pâque.
  • Le jour de la fête arriva.
  • Quand ce fut l'heure.

Jésus profite de cette occasion pour donner un dernier enseignement à ceux qui dans quelques jours devront prendre sa relève. Il situe sa mort imminente dans le plan de Dieu. Il est l'accomplissement de la Pâque juive et un jour dans le futur, il établira son royaume sur terre. Les disciples apeurés sont dans une situation très précaire: d'une part, ils sont l'objet de l'attaque de Satan, et d'autre part ils ne comprennent toujours pas très bien pourquoi leur Maître est arrêté. Cependant, Jésus reconnaît leur fidélité et leur promet une bénédiction toute particulière dans le royaume à venir. Dans l'oliveraie, par son exemple, il fait la démonstration de la puissance de la prière au sein de l'épreuve et de l'angoisse. Comme le Serviteur de l'Éternel, Jésus accepte la volonté de Dieu, malgré la souffrance. Face à la troupe qui vient l'arrêter comme un vulgaire criminel, il montre qu'il est pleinement conscient de ce qui va arriver et prêt à assumer sa mission de sauveur du monde. Des hommes iniques commencent à maltraiter le Fils de l'homme, accomplissant ainsi le décret divin comme quoi l'agneau de Dieu devait être immolé.

Chapitre 23

Versets 1-2

Je commence à lire le chapitre 23 de Luc.

Toute l'assemblée se leva et l'emmena devant Pilate. Là, ils se mirent à l'accuser:? Nous avons trouvé cet homme en train de jeter le trouble parmi notre peuple: il interdit de payer l'impôt à l'empereur et il déclare qu'il est le Messie, le roi ! (Luc 23.1-2).

À l'occasion des fêtes, Jérusalem était noire de monde. Pilate en tant que gouverneur romain était présent, afin de garder la situation bien en main. Il méprisait les Juifs, mais n'était pas plus mauvais bougre qu'un autre haut fonctionnaire. Cependant, le défaut de sa cuirasse était son opportunisme politique, et c'est par là que les chefs religieux le piégèrent. D'entrée de jeu, ils mentent en accusant Jésus de s'opposer au paiement de l'impôt à l'empereur alors qu'il avait déclaré le contraire disant:

Rendez à César ce qui est à César ! (Luc 20.25).

Versets 3-4

Je continue le texte.

Alors Pilate l'interrogea:? Es-tu le roi des Juifs? lui demanda-t-il.? Tu le dis toi-même, lui répondit Jésus. Pilate dit alors aux chefs des prêtres et aux gens rassemblés:? Je ne trouve chez cet homme aucune raison de le condamner (Luc 23.3-4).

La scène est étonnante. Un charpentier habillé en paysan auquel on demande s'il est roi et qui répond par l'affirmative. Pilate a tout de suite compris qu'il n'était nullement un monarque dans le sens romain du terme et donc il ne posait pas la moindre menace à l'empereur.

Versets 5-7

Je continue.

Mais ils insistaient de plus en plus, disant:? Il soulève le peuple avec ses idées ! Il a endoctriné toute la Judée ! Il a commencé en Galilée et il est venu jusqu'ici. Quand Pilate entendit parler de la Galilée, il demanda si cet homme était Galiléen. Apprenant qu'il relevait bien de la juridiction d'Hérode, il l'envoya à ce dernier qui, justement, se trouvait lui aussi à Jérusalem durant ces jours-là (Luc 23.5-7).

Pilate réalise qu'il s'est fait embringuer puis engluer dans une histoire qu'il aurait bien aimé ne jamais entendre. Il aurait préféré s'en tenir éloigné d'au moins cent lieux s'il avait pu. Alors, il saute sur une occasion inespérée pour se débarrasser de cette affaire en envoyant Jésus au roi Hérode.

Versets 8-12

Je continue.

Hérode fut ravi de voir Jésus car, depuis longtemps, il désirait faire sa connaissance, parce qu'il avait entendu parler de lui, et il espérait lui voir faire quelque signe miraculeux. Il lui posa de nombreuses questions, mais Jésus ne lui répondit pas un mot. Pendant ce temps, les chefs des prêtres et les spécialistes de la Loi se tenaient là debout, lançant, avec passion, de graves accusations contre lui. Alors Hérode le traita avec mépris, ses soldats en firent autant, et ils se moquèrent de lui, en le revêtant d'un manteau magnifique. Hérode le fit reconduire ainsi chez Pilate. Hérode et Pilate, qui jusqu'alors avaient été ennemis, devinrent amis ce jour-là (Luc 23.8-12).

Contrairement à Pilate, Hérode est ravi de rencontrer Jésus, mais pas pour les bonnes raisons. Il ne désirait pas voir un roi, mais un fou du roi qui le divertirait. Bref, il voulait un numéro de cirque. Jésus ne rentre pas dans le jeu de ce despote qu'il avait auparavant qualifié de renard. Le Seigneur et ce roi d'apparat sont tous deux descendants d'Abraham, mais Hérode est issu d'une branche sémite qui fut rejetée par Dieu. De plus, il avait dépassé le point de non-retour dans sa conscience endurcie. Pour lui, les dés étaient jetés. Jésus n'a rien à ajouter à ce que lui avait déjà dit Jean-Baptiste qu'il avait d'ailleurs fait décapiter. Finalement, Hérode habille le Christ comme un faux monarque, alors qu'il est le roi de l'univers. Il lui fait cadeau d'une parodie de manteau royal, un beau vêtement sans couture qui sera tiré au sort par les soldats, accomplissant ainsi une prophétie.

Le texte, comme les paroles de Jésus, regorge d'ambivalences afin que les Juifs d'abord, les Romains et moi ensuite, puissions trouver la vérité ou cimenter ce que nous choisissons de croire. C'était d'ailleurs le but des paraboles du Christ, comme je l'ai déjà dit, et même de tous les Textes Sacrés. Ils me permettent soit de découvrir Dieu en Jésus-Christ, soit de confirmer mon mensonge.

Versets 13-25

Je continue le texte.

Pilate convoqua les chefs des prêtres, les dirigeants et le peuple. Il leur dit:? Vous m'avez amené cet homme en l'accusant d'égarer le peuple. Or, je l'ai interrogé moi-même devant vous, et je ne l'ai trouvé coupable d'aucun des crimes dont vous l'accusez. Hérode non plus, d'ailleurs, puisqu'il nous l'a renvoyé. Cet homme n'a rien fait qui mérite la mort. Je vais donc lui faire donner le fouet et le relâcher. À chaque fête, Pilate devait leur accorder la libération d'un prisonnier. Mais la foule entière se mit à crier:? À mort ! Relâche Barabbas ! Ce Barabbas avait été mis en prison pour une émeute qui avait eu lieu dans la ville et pour un meurtre. Mais Pilate, qui désirait relâcher Jésus, adressa de nouveau la parole à la foule, qui se mit à crier:? Crucifie-le ! Crucifie-le !? Mais enfin, leur demanda-t-il pour la troisième fois, qu'a-t-il fait de mal? Je n'ai trouvé en lui aucune raison de le condamner à mort. Je vais donc lui faire donner le fouet puis le remettre en liberté. Mais ils devinrent de plus en plus pressants et exigèrent à grands cris sa crucifixion. Finalement, leurs cris l'emportèrent. Pilate décida alors de satisfaire à leur demande. Il relâcha donc celui qu'ils réclamaient, celui qui avait été emprisonné pour une émeute et pour un meurtre, et leur livra Jésus pour qu'ils fassent de lui ce qu'ils voulaient (Luc 23.13-25).

Retour à l'envoyeur ! Pilate est à nouveau aux prises avec les religieux dont il n'arrive pas à se dépatouiller. Il reconnaît l'innocence de Jésus à trois reprises, mais n'a pas le courage de le relâcher. Son vice d'opportunisme politique l'a piégé.


Copyright © 2001-2024 ( TTB - Thru the Bible, RTM - Radio Transmundial. Tous droits réservés - Conditions d'utilisation

Radio Chretienne
"Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice" (2 Ti 3:16)

part

Enquetes

Vous identifiez-vous avec l'église
Catholique
Évangélique
Témoin de Jéhovah
Autre
Je suis Agnostique
Aucune, je suis athée